Béatrice Quenot est une fidèle de BMW depuis de nombreuses années. À l’époque, essayer son premier X1 fut une révélation. Cette femme aux mille visages est venue à bout des stéréotypes qui pouvaient entourer la marque, pour profiter d’une expérience de conduite sur laquelle elle ne pourrait plus revenir. Pour Femmes en Bourgogne, Béatrice Quenot s’est faite, le temps d’une entrevue, ambassadrice BMW.
La directrice d’Image et Associés est souvent sur la route, pour aller à la rencontre de ses clients. Cela fait dix-huit ans qu’elle propose, avec son agence, une communication visuelle pour des établissements food et drink. Si elle n’est pas photographe, rien n’échappe pour autant à son œil aguerri. Les formes, le nez de son premier X1 l’avaient séduite, mais elle le confesse : lorsqu’il s’agit d’automobile, l’esthétique seule ne suffit pas. « Si je monte dans une voiture, c’est d’abord parce que je vais m’éclater dedans », nous confie la dynamique cheffe d’entreprise.
ESSAYER, C’EST ADOPTER BMW
Ce sont la motorisation, la direction et le confort de conduite des voitures produites par BMW qui ont convaincu Béatrice Quenot. « Avant de l’adopter, j’ai besoin de tester une voiture, au corps à corps. De faire de la route, de l’autoroute, de la conduire en ville. Ressentir ses réactions », nous explique t-elle. « Après avoir essayé ma première BMW, j’ai senti la différence avec ma voiture précédente, pourtant d’une marque reconnue. J’ai senti que je rentrais dans un autre monde ». À l’époque, Béatrice s’étonne alors que son premier modèle, une traction, ne soit « ni survireur, ni sous-vireur ».
« J’EN VIENS À ME RÉJOUIR DE PARTIR EN RENDEZ-VOUS ET PRENDRE LA ROUTE. »
Son diagnostic d’alors est resté le même : « Tout est parfait, équilibré, centré sur le confort et le plaisir de conduite du conducteur », résume celle qui fut aussi pilote d’avion.
LE CONFORT À TOUS LES ÉTAGES
« Au volant, on est dans un cocon, dans un nuage », nous dit-elle. Et lorsque Béatrice Quenot nous dit cela, nous avons envie de la croire. Maître Reiki et tournée vers le soin de soi, la cheffe d’entreprise a fait sienne une certaine zénitude. « À l’intérieur, il n’y a pas un bruit, remarque-t-elle, on est vraiment en harmonie avec la voiture. » Ce sentiment, elle l’éprouve aussi esthétiquement, au regard des lignes de la voiture « tout sauf dissonantes ». À bord, l’électronique est tournée vers la sécurité et le confort. Les outils dont se dotent les BMW permettent d’anticiper la moindre potentielle erreur de conduite. Mais que ceux qui aiment maîtriser leur véhicule n’aient crainte : « le plaisir est préservé, malgré l’assistant de conduite », rassure Béatrice Quenot.
L’AMOUR DE LA ROUTE
Roulant désormais en BMW Série 4 Gran Coupé, Béatrice semble encore plus épanouie, avec une propulsion qui vire, nous dit-elle, encore mieux que son premier modèle. Et la motorisation de ce BMW 420d, qui bénéficie d’une micro-hybridation, a des performances exceptionnelles. « Pour aller à la rencontre d’un client, j’ai fait Dijon – Marseille – Lyon avec un plein : 960 km d’autonomie », nous rapporte-t-elle, bluffée. Consciente que le temps de l’électrique devra venir, elle n’en demeure pas moins attachée au thermique et aux prouesses qu’il permet. Lorsqu’elle nous parle de ses « BM », l’enthousiasme de cette cliente convaincue ne cesse pas de transparaître. « J’en viens à me réjouir de partir en rendez-vous et de devoir prendre la route », s’amuse Béatrice Quenot. Si elle a toujours aimé rouler, son attirance pour la marque à l’hélice n’a rien à voir avec l’image à laquelle le motoriste peut être associé : « Rouler en BMW, ce n’est pas forcément chercher à montrer qu’on a une belle automobile. Moi, si j’y suis venue, c’est seulement parce que je l’ai essayée, et que j’ai vu la différence avec les autres marques ». Être convaincu est donc un risque que toutes celles et ceux qui s’attaquent à BMW semblent devoir être prêts à prendre.
BMW Car Avenue Dijon
18, rue Antoine Becquerel à Chenôve
www.dijon.bmwcaravenue.fr
Texte : Alban Salmon / Photographie : Jonas Jacquel